Dans chaque groupe de cyclistes, on retrouve plusieurs «types», les sprinteurs de pancartes, les toujours-en-retard, les «j’ai oublié mes souliers», celui ou celle toujours partant pour rouler plus loin, beau temps, mauvais temps. Et il y a aussi le gars des collations, généralement le plus filiforme de la gang, c’est celui qui transporte du lunch pour 2 jours, profitant de chaque portion calme du parcours pour manger un peu. Essentiel au groupe, c’est celui qui trouve en premier le kiosque de fruits et légumes qui fait des escapades à la campagne des moments si authentiques.